Il était une fois, dans un univers numérique où les vidéos dominaient, représentant plus de 80% des données sur les réseaux avec un impact carbone considérable. Leur omniprésence dans le paysage numérique faisait de leur optimisation un enjeu majeur pour notre monde en proie à des défis environnementaux sans précédent.
En comprenant les enjeux environnementaux liés à la consommation de vidéos, Vidmizer s’interrogeait, l’heure était peut-être venue de tenter de faire bouger les lignes. Les vidéos en ligne représentaient une part croissante des émissions de gaz à effet de serre, avec des milliards de vidéos publiées chaque jour (4 milliards sur Youtube, 8 milliards sur Facebook et Instagram et près d’un milliard d’heures de vidéos visionnées quotidiennement sur Youtube).
L’adoption généralisée de la vidéo par les entreprises, les organisations et les consommateurs, a créé une situation où agir devenait urgent pour préserver notre planète. Vidmizer, spécialisée dans la gestion et la diffusion de vidéos, a reçu un jour une vidéo de 20 Go de l’un de ses clients fidèles. Ce fichier volumineux représentait un défi pour le stockage du client ainsi qu’une complexité technique pour nos serveurs et ceux du fournisseur cloud. De plus, cela entraînait un impact carbone, des coûts liés à l’encodage, au stockage et à la diffusion numérique.
Pour seulement 10.000 vues, 20 To de bande passante étaient utilisés ce qui représentait 8,72 tonnes CO2 (équivalent à 6 années de d’émissions d’une voiture à moteur thermique effectuant 15.000km/an) et près de 95 Mwh (40 années de chauffage électrique pour un appartement de 65m2).
Face à cette réalité, deux options se présentaient : augmenter indéfiniment les capacités de traitement des vidéos pour entrer dans la compétition mondiale de vitesse de transfert et de traitement massif de données avec une acceptation de poids toujours plus élevé, ou limiter le volume de données en réduisant le poids des vidéos.
Vidmizer a choisi de transformer la manière dont les vidéos sont gérées et diffusées en les rendant éco-responsables. Les conséquences négatives des vidéos lourdes incluent l’augmentation du temps de chargement, une expérience utilisateur dégradée, des coûts de stockage croissants, un impact carbone plus important et une consommation énergétique élevée.
Ainsi, il est apparu évident que l’approche éco-responsable et durable était la voie à suivre, conciliant bon sens, conviction et performance.
… A suivre